Moi, j’insiste sur les bonnes nouvelles : une croissance de 7 % et un taux d’emploi que nous n’avons jamais atteint depuis 1969 – nous dénombrons 650 000 créations d’emplois dans le secteur privé. L’investissement, aussi, repart à la hausse. Cette croissance était inattendue. Elle constitue une bonne nouvelle, parce que cela nous permet de réduire les déficits publics plus rapidement que prévu.