On pourrait même dire, madame le rapporteur : l’art, l’argent, le pouvoir !
Combien de peuples, de cultures, de civilisations ont été spoliés au fil du temps ? Combien d’œuvres d’artistes ayant vécu dans la misère permettent aujourd’hui à certains de réaliser des gains astronomiques, monsieur le garde des sceaux ?
Comme l’a dit Pierre Ouzoulias, il y a là matière à une vaste réflexion. Je pense que nous aurons l’occasion de revenir sur ce sujet, comme il l’a lui-même suggéré.
En attendant, chère Catherine Morin-Desailly, vous nous avez présenté un texte dont vous avez eu la lucidité de nous dire qu’il ne constituait pas une révolution. D’ailleurs, il faut toujours préférer les réformistes qui font des réformes aux révolutionnaires qui ne font pas la révolution !