Il importe avant tout aujourd’hui de faire preuve d’impartialité : ne pas nier les difficultés du système scolaire français – je suis le premier à les signaler –, tout en reconnaissant les progrès qui ont été réalisés, d’autant que certains d’entre eux, je l’affirme, sont inédits – et aucun de mes prédécesseurs ne peut en dire autant.