Monsieur le ministre, vous évoquez les lieux où se dégage un consensus autour de ces dispositifs.
Lorsque l’école du socle a été mise en place à Jussey, j’étais maire et président du syndicat scolaire. Nous étions trois à y croire : le principal du collège, la directrice de l’école et moi-même. Nous devions faire face à l’opposition de tous les enseignants, et j’étais devenu la bête noire des syndicats de la Haute-Saône en voulant créer cette école. Il nous en a fallu, du courage et de la volonté !
Peut-être ce dispositif est-il la bonne solution pour réduire le grand écart entre les élèves les plus en retard et ceux qui sont les plus avancés. De grâce, faisons donc preuve de courage et de volonté.