Ne prenez pas à la lettre ce qu'a dit mon collègue sur la 2e classe du Parisien. Il était moins effronté pour le dire devant Bernard Arnault.
Je vous remercie pour votre courage. Vous n'avez pas pu tout nous dire, vous nous avez fait part de vos limites. Vous nous avez fait prendre conscience que les craintes que nous pouvions avoir et sur lesquelles nous devons travailler pour les limiter ou pour les empêcher sont bien réelles.
Vous avez accepté de témoigner dans une période d'incertitude puisque vous avez évoqué un phénomène qui est à l'oeuvre mais qui n'est pas achevé. Dans ce contexte, cette audition était tout à fait nécessaire.