président. – Je comprends les maires qui mettent en œuvre ce type de solution, mais cela provoque une concurrence entre communes.
La discrimination positive me paraît importante. On peut multiplier le numerus clausus par dix ou cinquante, mais si on continue à concentrer les médecins au même endroit, on n’améliorera pas la situation.
Il faudra que l’Ordre des médecins comprenne que des efforts doivent être faits, sinon des mesures coercitives devront être prises.