– Des chercheurs en sciences sociales ont des données assez précises. Au total, 120 000 personnes seraient concernées.
Mme Catherine Deroche. – Le fait de cibler certaines personnes ne risque-t-il pas de nous faire passer à côté de cas ? En outre, ce ciblage a un côté stigmatisant. Comment traitez-vous cet aspect en termes de communication ?