Le contexte de cette présidence est très particulier. Comme Laurence Harribey, je pense qu'il y a urgence à agir face aux eurosceptiques. Nous, Européens convaincus, n'arrivons pas à « vendre » l'Europe, que les eurosceptiques présentent toujours comme un censeur, un empêcheur de tourner en rond.
Je partage vos objectifs d'une industrie décarbonée grâce au nucléaire.
L'Ukraine et la Moldavie sont désormais officiellement candidates à l'adhésion ; un troisième pays avait aussi posé sa candidature, la Géorgie, qui est en grande difficulté à cause de la situation en Abkhazie et en Ossétie du Sud. Pensez-vous qu'il puisse y avoir une issue favorable à sa candidature ?