Je me joins au président Cambon pour vous féliciter, vous remercier, mais aussi vous dire ma tristesse de voir l'organisation du corps diplomatique remise en cause. J'espère que la crise actuelle amènera à revoir cette décision.
On parle peu des mois qui ont précédé le 24 février. Quelle était la situation précise, notamment dans le Donbass ? Pourquoi les accords de Minsk n'ont-ils été mis en oeuvre que de manière limitée ? Rappelons que ce conflit a fait 14 000 morts avant le 24 février. La responsabilité de ce qui se passe aujourd'hui repose-t-elle en totalité sur M. Poutine, ou peut-on adopter un point de vue plus équilibré ?
Les projets d'intégration de certains États à l'Union européenne, voire à l'OTAN, sont-ils à vos yeux susceptibles de contribuer à un cessez-le-feu, ou au contraire de le retarder ?