Je tiens à rendre hommage à nos services de renseignement pour le travail qu'ils accomplissent, la plupart du temps dans des conditions extrêmement difficiles.
La loi de programmation militaire 2019-2025 retient le renseignement et le cybercombat comme des priorités en matière de recrutement, ce qui a été confirmé chaque année par les lois de finances. Plusieurs sujets de préoccupation ont néanmoins retenu notre attention : l'affaire Aukus, les deux coups d'État au Mali, et le changement du directeur de la direction du renseignement militaire en pleine guerre d'Ukraine.
Vous avez pris, le 13 juillet, un arrêté portant organisation de la direction générale de la sécurité extérieure (DGSE). Quels sont les objectifs de cette réforme ? Quelles sont les améliorations attendues pour ce service et sa collaboration avec les autres entités de renseignement militaire et de défense ?