La CADA est une petite institution, où les rapports sont très confiants. Pour avoir présidé de nombreuses institutions, je n'ai jamais eu la réputation d'un tyran. Je crois être assez proche des gens, ma porte est ouverte. J'essaie d'emmener les équipes avec moi pour impulser des réformes. Chaque fois que la République m'a confié un mandat, j'ai d'ailleurs été l'artisan de transformations profondes, et je l'ai toujours fait en association non seulement avec les parties prenantes, mais avec l'ensemble du personnel.
Je crois aux méthodes de management reposant sur la confiance, l'écoute et la simplicité des rapports. Le personnel de la CADA n'a d'ailleurs aucune inquiétude à ce sujet.