Ils évoquaient un système à bout de souffle, injuste, et qui, de plus, ne permettait plus de garantir la pérennité du financement de l’audiovisuel.
Je connais votre engagement sur ces questions, monsieur Assouline, et je veux vous dire que nous partageons, d’une part, votre préoccupation pour le pouvoir d’achat des Français, et, d’autre part, votre souci de préserver un service audiovisuel public indépendant, fort et bien financé.
Le rapport de l’inspection générale des affaires culturelles (IGAC) et de l’inspection générale des finances (IGF) que nous vous avons transmis atteste que l’État devait compléter chaque année de 600 millions d’euros le financement lié à la seule redevance audiovisuelle, car celle-ci ne suffisait plus.