Les parlementaires ont proposé de financer cette suppression grâce à une part de la TVA, qui sera affectée à l’euro près au service de l’audiovisuel public jusqu’en 2025.
Au-delà de cette date, monsieur le sénateur, il reste tout à fait possible, si la représentation nationale le décidait, de continuer de flécher des segments entiers de fiscalité vers les dépenses particulières.
N’ayez donc aucune crainte quant à la volonté du Gouvernement, des députés, de toutes tendances d’ailleurs, et, demain, je l’espère, des sénateurs de toutes tendances également : nous entendons, premièrement, garantir le financement pérenne de l’audiovisuel public, et, deuxièmement, restituer du pouvoir d’achat aux Français.