C'est un aspect très important. Entre l'ouragan Hugo en 1989 et aujourd'hui, la prise de conscience est manifeste. Ceux qui ont perdu des biens ou qui n'étaient pas assurés se sont remis en question et les constructions aux normes et les mises en conformité avec la réglementation ont augmenté.
Aujourd'hui, les plans locaux d'urbanisme et la règle des 50 pas géométriques ont favorisé ce phénomène, mais il faut de la cohérence. Dans la mesure où des révisions sont programmées, il faut que tous, élus locaux, parlementaires, services de l'État, incitent davantage à la nécessité de s'assurer.
Selon moi, nous sommes sur la bonne voie.