Nous avons émis des propositions concernant les VIE. C'est effectivement un très bon dispositif qu'il faut renforcer et nous avons proposé d'étendre leur financement jusqu'à un minimum de 80 %, contre 50 % aujourd'hui en moyenne, en mettant notamment à contribution les régions, notamment pour limiter les distorsions de concurrence entre les entreprises de même secteur mais implantées dans des territoires différents, et atteindre un plus large spectre d'entreprises. Deuxième frein, la mission du VIE est relativement courte, par rapport au projet de l'entreprise. Comment inciter les bénéficiaires à rester au-delà de leur mission ?
Rien n'incite les grands groupes à aider les TPE-PME. Il faut les valoriser par un prix du patriotisme économique, la fiscalité, etc.