Monsieur le garde des sceaux, j’ai bien compris votre réponse, qui n’en est pas vraiment une…
Je veux ajouter deux choses.
Premièrement, il faudrait également veiller à augmenter la dotation budgétaire des Spip. En effet, ils doivent pouvoir disposer de budgets propres leur permettant de financer – ou d’y participer par un financement croisé, sans quoi c’est impossible – la prise en charge par le milieu associatif des suivis intensifs et individualisés.
Deuxièmement, il faudrait également augmenter les effectifs de ces Spip. Certes, tel a été le cas, puisque, comme vous l’avez indiqué, on compte actuellement un agent pour 71 personnes suivies, mais l’objectif tel qu’il a été fixé, à savoir un agent pour 60 personnes suivies, n’a pas été atteint.