Madame la sénatrice, comme vous, je préfère une justice humaine, merveilleusement humaine, parfois terriblement humaine, à n’importe quel robot. S’il suffisait d’introduire je ne sais quelle carte informatisée dans une machine pour obtenir une solution, nous n’aurions tout simplement plus de raison d’être : il n’y aurait plus la moindre difficulté ou la moindre problématique.
Comme vous, je suis très attaché à l’indépendance de la justice. En corollaire, certaines décisions nous font parfois un peu tiquer…