Mme Élisabeth Borne, Première ministre. Et il y a une autre chose à laquelle je crois profondément, monsieur le président Retailleau : c’est l’indépendance de l’autorité judiciaire. Je n’ai donc pas d’autre commentaire à faire : laissons les enquêteurs travailler, laissons les membres de la famille de Lola faire leur deuil en paix. Nous leur devons justice, ils l’auront, et c’est la République qui la rendra.