Monsieur le ministre, je crains fort que vous n’ayez pas compris le sens profond de ma question. Il s’agissait de nous dire où s’arrête la compétence et où commence la récompense…
Au-delà du choix de la personne, vos méthodes interpellent : aucune publication de vacance de poste, aucun appel à candidatures à la suite du départ du prédécesseur de M. Costa… Je me permettrai de faire un parallèle avec la situation de M. Castaner, pressenti pour diriger le Grand port maritime de Marseille. Rappelez-vous l’ancien monde ! Rappelez-vous Jean-Christophe Mitterrand, nommé par son père conseiller aux affaires africaines en 1986, parce qu’il aimait les voyages ! J’ose espérer que M. Castaner n’est pas pressenti à ce poste, parce qu’il aime les effluves du Vieux-Port ou, mieux encore, l’odeur des merguez syndicales, qui s’est propagée dès l’annonce de sa future nomination !