Les commerces ruraux, notamment les boulangers, sont très préoccupés. Après avoir subi de nombreuses hausses des matières premières, ils subissent la hausse des coûts de l'énergie. Les situations sont très variables, mais ceux qui font des tournées en zone rurale sont particulièrement fragilisés.
Je suis également inquiet des coupes budgétaires prévues dans le prochain projet de loi de finances pour les chambres consulaires, de l'ordre de 15 millions d'euros pour les chambres de métiers et de l'artisanat, qui se sont régionalisées, alors que leur secteur nécessite une vraie présence territoriale.