Je partage le point de vue de la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable.
Dans les zones relevant d’un PPRI, on ne peut rien faire ou en tout cas pas grand-chose. Il me semble qu’il est désormais possible, grâce à de nouvelles technologies, comme les ombrières, d’y installer des panneaux photovoltaïques en hauteur, en prenant en compte le niveau de la dernière crue, que l’on peut multiplier par deux en considérant que les prochaines seront pires. On peut donc transformer ces espaces qui ne peuvent pas être urbanisés en champs de panneaux photovoltaïques.
Il me semble plus raisonnable de soutenir les dérogations prévues par la commission.