La même année, à l’Assemblée générale des Nations unies, le Président de la République disait préférer une mobilité internationale choisie et non subie, au risque de faire monter les extrêmes.
On connaît la suite de l’histoire : vendredi dernier, Emmanuel Macron donnait l’ordre d’accueillir les 230 migrants de l’Ocean Viking à Toulon.
Madame la ministre, la France ne peut pas accueillir toute la misère du monde.