Je ne sais pas si vous êtes amené à faire du bateau, monsieur le sénateur, pendant les vacances, par exemple, mais j’ai une conviction, malgré la question que vous avez posée : si un jour vous vous trouviez à côté d’un esquif en pleine mer, sur lequel des personnes étaient en danger de se noyer, je ne crois pas que vous les regarderiez les bras croisés en disant qu’il n’y a pas de place sur notre territoire. §Vous viendriez évidemment les aider !
Eh bien, la France peut s’enorgueillir de faire ce travail que chaque citoyen ferait à sa place, je l’affirme. La non-assistance à personne en danger n’est pas dans l’ADN de la France, de la République et du pays des Lumières, monsieur le sénateur !