Je ne dis pas que vous seriez hostile à l’idée de priver l’État de recettes. Vous avez adopté en fin de semaine dernière un amendement relatif à la baisse des droits de succession, qui coûte au moins 1, 4 milliard d’euros, sans compter d’autres mesures.
Et je n’évoquerai pas l’amendement relatif à la réforme de l’immobilier, qui coûte également très cher.