Monsieur le président, je ne souhaite pas que la discussion du projet de loi de modernisation de l’agriculture et de la pêche se transforme en un débat sur l’avenir de la filière vitivinicole française.
Je tiens néanmoins à dire à MM. Fortassin et Guillaume que nous travaillons tous les jours à l’avenir de cette très belle filière, objet de l’une de nos préoccupations majeures.
Je ne vais pas « faire l’article » sur le sujet, tant il est évident que l’un des grands bonheurs du ministre de l’agriculture est de défendre les vins, et qu’à ce titre je fais mon possible pour développer la filière vitivinicole.
La France compte vingt-six interprofessions contre deux ou trois au Chili, par exemple ! C’est dire les efforts d’organisation que nous devrons réaliser ! Sachez que je ne céderai pas sur ce point : la filière vitivinicole doit être mieux organisée.