M. Gabriel Attal, ministre délégué. J’espère que celles et ceux qui ont parlé de fuite de l’État devant ses responsabilités ou de désengagement de l’État seront présents dans cet hémicycle lorsque nous discuterons, en seconde partie, de notre décision d’abonder de 1, 2 milliard d’euros le bouclier énergétique destiné aux logements sociaux.