… ou dix ans d’intervalle, deux tempêtes ont frappé ces départements. Au moment où je parle, les indemnités relatives aux premiers dégâts ne sont pas, loin s’en faut, arrivées dans l’escarcelle des forestiers.
Je vous le dis sans intention polémique, monsieur le ministre, vous qui avez visité l’autre jour le Lot-et-Garonne, qui n’est pas si loin des Landes, poursuivez un peu plus vers l’Ouest et allez constater sur le terrain que la situation ne s’est pas améliorée dans un département où la sylviculture occupe une place déterminante d’un point de vue sociétal – c’est une véritable culture – mais aussi commercial et financier !