J'ai mentionné parmi les pistes pour préserver le régime des catastrophes naturelles, celle consistant à conditionner l'indemnisation du sinistre à la réparation effective des dommages provoqués par la sécheresse. Aujourd'hui, la victime dispose librement de l'indemnisation, que les réparations soient faites, ou pas ; cela conduit à des indemnisations successives pour un même bien, lorsque le propriétaire change et que le sinistre se reproduit ; il nous semble donc opérant de s'assurer que les indemnités réparent effectivement.