Madame la ministre, votre réponse est loin d’être rassurante.
En 2018, le directeur de cabinet de Muriel Pénicaud disait aux partenaires sociaux qu’il n’y aurait pas de problème de financement, car les cotisations patronales seraient augmentées en conséquence s’il le fallait.
Mais vous venez de nous expliquer un autre choix : c’est la première fois dans notre histoire sociale que nos concitoyens devront financer eux-mêmes l’accès à un droit acquis !