Monsieur le ministre, êtes-vous prêt à entendre que le droit du sol et que les politiques publiques en matière d’accès aux soins gratuits et à la scolarisation des enfants doivent être drastiquement remis en cause sur ce territoire ?
Je rappelle que 80 % des enfants scolarisés à Mayotte ne sont pas des enfants de l’île. C’est un appel d’air considérable pour l’immigration, qui déstabilise l’île en permanence.