Le sujet du Grand Est sera inévitablement évoqué lors de l’examen du prochain projet de loi de différenciation annoncé pour le début de l’année 2024.
Auparavant, il faut cependant clarifier la situation pour couper court aux controverses politiciennes. Un référendum préalable – j’insiste sur ce mot – et non a posteriori est donc indispensable pour connaître l’avis des Alsaciens de manière démocratique et incontestable.
Sans vous demander de vous prononcer sur l’opportunité d’un redécoupage de la région Grand Est, je vous pose donc, madame le ministre, la question suivante : acceptez-vous le principe de l’organisation d’un tel référendum ?