Le dispositif voté dans le cadre de la loi Ma santé 2022 se déployait dans le cadre du troisième cycle. Or ce que nous proposons dans cette proposition de loi, ce n'est pas une quatrième année étudiante mais bien une année de professionnalisation, qui n'aura pas le caractère d'un stage. Je comprends bien l'intention de M. Chasseing, qui craint que l'on ne puisse pas trouver un médecin maitre de stage universitaire dans les zones sous-denses, mais l'année de professionnalisation est une année entière (et non un semestre) qui doit permettre de former les jeunes médecins et de les accompagner dans leur installation.