Madame Mercier, l'appel est émis par le capitaine du navire et le médecin présent à bord atteste de l'urgence vitale : cela ne se discute pas. Ensuite, on peut s'interroger sur l'ampleur des moyens à mobiliser. Mais, en vertu des lois de la mer, c'est l'autorité à bord qui définit le danger et non le service de secours. Le capitaine assume la responsabilité juridique et, en l'occurrence, médicale de l'alerte.