Je vais donc essayer de l’illustrer.
Je suis de ces générations qui ont vécu – je pèse mes mots – le dédain, la dévalorisation des métiers manuels et des formations courtes.
Votre réponse est centrée sur la question des salaires. C’est l’un des aspects très importants du sujet. Mais votre propos n’a pas pris en compte le problème dans toute son ampleur.
Les enjeux de reconnaissance, et pas seulement par le salaire, sont considérables. Or votre gouvernement n’y fait aucunement face : aucun plan ne prend en compte cet aspect fondamental de la question. Je le regrette. Mais il n’est jamais trop tard. Je me tiens à votre disposition pour en discuter, madame la ministre.