Nous allons laisser la parole à nos collègues qui nous ont fait l'amitié d'être présents ce matin. Je précise que beaucoup de parlementaires s'excusent de leur absence. Pour des raisons de transport, certains d'entre eux ont dû rentrer précipitamment hier chez eux, tandis que les ceux d'Île-de-France n'ont pas tous pu nous rejoindre physiquement.