Pourquoi ce mépris à l’égard des syndicats ? Vous avez parlé de concertation. Mais pourquoi seront-ils demain dans la rue, unis ? Posez-vous les vraies questions ! Ce n’est pas parce qu’ils étaient à côté de vous que vous les avez entendus. Alors, faites l’effort nécessaire pour que les syndicats soient satisfaits dans leurs demandes et pour que les femmes ne soient pas la variable d’ajustement.
Madame la Première ministre, vous avez, ces derniers temps, pris l’habitude des « 49.3 ». J’espère vraiment que le dialogue permettra d’aboutir à des mesures qui puissent satisfaire les syndicats et les personnes qui connaissent déjà beaucoup de pénibilité dans leur emploi.