En tant que ministre, il est important que je mette en place la parité. Elle n'est d'ailleurs pas respectée au sein de mon cabinet : il compte plus de femmes que d'hommes. Mais, en ce qui concerne la justice, il ne s'agit plus d'un choix, mais d'un concours : que le meilleur gagne - en l'occurrence les filles, ce à quoi je ne vois pas d'inconvénient.