J'en arrive aux carences en ambulanciers. Tout reste à faire. Il y a d'abord des discussions avec les ARS sur le volume d'heures à prendre en compte sur les carences, mais il y a aussi des services à améliorer. On ne peut continuer ainsi, avec de fortes pressions qui s'exercent sur nos pompiers volontaires. Il faut qu'on continue d'assurer la sécurité et le transfert. Les pompiers sont là pour aider la population, mais nous n'aurons pas de pompiers formés durablement qui joueront le rôle de taxi. C'est aussi simple que cela. Il faut vraiment se pencher sur la question. Il serait intéressant en particulier d'étudier les conditions dans lesquelles la prise en compte de la carence ambulancière s'est traduite. Nous avons déjà réglé une petite partie financière, en portant le montant à 200 euros, mais ce n'est pas suffisant et le volume n'est pas pris en compte.