Madame la sénatrice Boyer, il n’y avait ni ironie ni mépris ; votre champ lexical aurait sans doute pu vous permettre d’envisager d’autres points de vue.
Nous n’avons pas changé notre position, qui est extrêmement claire et précise. Ceux qui ont choisi Daech doivent être jugés au plus près des lieux où ils ont commis leurs crimes, mais, et ce n’est pas un petit « mais », il y a des enfants, madame la sénatrice, qui n’ont rien choisi et qui doivent être traités avec humanité et vigilance !