Monsieur le ministre, je m’attendais à votre réponse, mais il nous faut des solutions et des certitudes.
Au-delà de l’incompréhension et de l’impuissance française, c’est la colère, c’est le désarroi, c’est le feu dans nos territoires, c’est le saccage annoncé d’une filière, c’est la mise en péril de l’industrie du sucre, de l’alcool, du bioéthanol, du gel hydroalcoolique et de l’alimentation animale !
C’est le risque d’importations massives de sucre ou d’éthanol, notamment du Brésil, qui sont issus de cultures usant de produits interdits en France.