Ce n’est pas la première fois que nous examinons un amendement qui, parce qu’il s’éloigne trop du texte en discussion, peut être qualifié de cavalier législatif.
Pour autant, madame la ministre, vos propos m’ont convaincu sur un point essentiel et fondamental : à moins de deux ans des jeux Olympiques, notre seul objectif doit être l’efficacité.
En l’occurrence, il est question de la présidente de l’établissement public de Versailles chargée de l’organisation d’un certain nombre d’épreuves. Certes, les choses auraient pu être mieux anticipées et je partage l’avis de certains de mes collègues notamment au sujet du ministère de la culture ; pour autant, la situation est telle qu’elle se présente et la question est de savoir comment on en sort.
Cet amendement nous offre l’opportunité de trouver une issue d’autant plus envisageable que la personne en question semble faire l’unanimité, par son professionnalisme et la qualité de son travail.
En accueillant plusieurs épreuves importantes, Versailles contribuera aussi, comme nombre d’autres établissements culturels, au rayonnement de notre pays et à l’attractivité des jeux Olympiques.
Pour toutes ces raisons, tâchons d’être raisonnables. Je voterai cet amendement.