À l'horizon 2026 et 2027, quatre bâtiments de surface de la marine seront dotés de gravimètres quantiques à atomes froids commandés en 2020 à l'Office national d'études et de recherches aérospatiales (Onera). Pouvez-vous expliquer l'importance de cette technologie de rupture ?
Par ailleurs, le champ quantique ne pouvant être réduit à la cartographie des océans, quels moyens la DGA et ses partenaires consacrent-ils à la recherche pour le décryptage de l'information quantique ?