Je vous remercie de votre réponse, monsieur le ministre, mais je dois avouer que vous ne m’avez pas appris pas grand-chose…
Surtout, vous ne répondez pas à mes questions – malheureusement !
Je voulais savoir quand nous allions pouvoir travailler ensemble sur l’équilibre économique et financier de ces contrats de concession.
Je voulais également savoir quel effort a été réellement demandé à Vinci et pourquoi rien n’a été demandé à Eiffage. Comme d’habitude sur ce sujet, il n’y a pas de transparence ; c’est un point sur lequel nous avions beaucoup insisté dans notre rapport.
Le Sénat est garant de la défense de l’intérêt général ; c’est pourquoi nous continuerons de travailler sur la question des concessions autoroutières.