Nous souhaitons tous ici un prix rémunérateur pour le producteur, un juste prix pour le consommateur et un véritable partage de la valeur à toutes les étapes de la chaîne. Sur les matières premières agricoles, travaillons sur des concurrences loyales, sans opter pour le moins-disant environnemental et social.
Le panier alimentaire ne doit pas être la variable d’ajustement dans un budget serré. La solution est de redonner du pouvoir d’achat aux plus défavorisés. Il faut arrêter avec le bas de gamme pour les moins favorisés, qui provoque obésité, diabète et leurs corollaires de maladies graves.
Cette proposition de loi est un petit pas vers un meilleur partage de la valeur, vers une évaluation de cette répartition. C’est un petit pas : clairement, nous travaillons à la marge, dans tous les sens du terme.