À n'en pas douter, Bpifrance est une réussite, surtout quand on se souvient des instances qui l'ont précédée, comme l'Agence nationale de valorisation de la recherche (Anvar).
Vous avez dû construire assez rapidement, à partir de vos portefeuilles, un produit d'épargne à destination des Français : fonctionne-t-il et êtes-vous en mesure de le développer ?
De plus, la répartition à parts égales du capital de BpiFrance entre la Caisse des dépôts et consignations et l'État induit nécessairement une dyarchie. Ne vaudrait-il pas mieux avoir un seul patron, avec une répartition du capital à 51 %- 49 % ?