Monsieur Dossus, je comprends que l’on ne soit pas d’accord avec cette proposition de loi qui, je le redis, ne porte pas sur l’intérêt du projet, mais sur la procédure suivie, laquelle a été mal conduite en raison de la complexité du droit de l’urbanisme.
En revanche, mon cher collègue, je ne peux accepter vos propos selon lesquels nous chercherions à faire avaler des couleuvres ou des mensonges ! J’aimerais que vous respectiez le travail de Mme la rapporteure, qui n’essaye pas de vous faire avaler quoi que ce soit ! Elle a mené des auditions et effectué un travail sérieux ! Par respect pour sa personne, je vous demande de vous excuser.