La grande affaire de l'ANCT, avez-vous dit, est l'ingénierie, initialement prévue pour soutenir les petites collectivités. Or, les écarts en ce domaine entre celle-ci et les grandes collectivités créent des disparités et renforcent les inégalités territoriales. À cet égard, les résultats ne sont pas au rendez-vous et l'objectif n'est pas atteint. Dans nos départements ruraux, des maires ne connaissent pas l'existence de l'Agence, ou ne savent pas quelle plus-value elle peut apporter. Comment comptez-vous répondre à ce constat ? Comment faire en sorte que les petites collectivités bénéficient du soutien en ingénierie ?
Les programmes nationaux que vous avez cités sont intéressants et utiles ; pour autant, il existait des programmes nationaux qui fonctionnaient avant la création de l'ANCT, comme les pôles d'excellence rurale (PER) ou les emplois aidés. Comment identifier la plus-value apportée par l'Agence, après trois ans d'existence, dans le cadre de ces politiques publiques ?