L’agriculture est soumise à la nature et au temps.
Monsieur le ministre, faites-vous, résigné, le choix de son déclin ou celui d’une agriculture vitrifiée et d’importation, voire in vitro ?
La ferme France a besoin de connaître le cap pour adapter son évolution, dépendante de la recherche technique et génétique, ainsi que les moyens alloués et le pas de temps nécessaire.
Ce temps politique, c’est maintenant, monsieur le ministre ! Quelle est votre ambition ?