Monsieur Raoult, est-il vraiment nécessaire d'ajouter un échelon administratif supplémentaire en matière de gestion de la politique de l'eau ?
Notre système de gouvernance se caractérise déjà, vous en conviendrez, par une certaine complexité : c'est ce qu'on appelle le millefeuille. Ajouter un échelon supplémentaire et donner aux régions un rôle de coordonnateur de la politique de l'eau ne me paraît donc pas d'un intérêt évident et risque d'être facteur de lourdeurs administratives et de complexités supplémentaires.
Aussi, la commission a émis un avis défavorable sur cet amendement.