À l'occasion de la première lecture, M. Lepeltier, ministre de l'environnement à l'époque, avait indiqué, lorsque nous avions évoqué cette question, que l'on n'allait bien entendu pas oeuvrer dans le vide et que les anciens classements serviraient de base de travail.
Si vous me confirmez, madame la ministre, que l'on ne s'éloignera pas trop de la situation actuelle et que l'on ne profitera pas de la révision des classements pour déclasser massivement des rivières, j'accepterai de retirer mon amendement.